Massimo
- Fanny Melot
- 13 juil.
- 1 min de lecture
Ça y est, on quitte la France et le confort du parler français. J'ai l'impression qu'un nouveau voyage commence. Bonifacio, Massimo : un contraste saisissant. Christophe vous dirait même qu'on a vécu une dystopie. On est passés d'un endroit oppressant de monde, de bateaux luxueux, de boîtes de nuit, de douches chronométrées — pas plus de six minutes, s'il vous plaît — à seuls au monde dans un petit port, portes des sanitaires sans serrure et à trois mètres de la plage.

Massimo, un petit paradis sur l'île de La Maddalena, au nord de la Sardaigne. Sandra, une femme de Massimo depuis 50 ans et qui parle un français impeccable, nous a dit que pour elle, c'était l'endroit le plus beau de toute la Sardaigne. Mais chut, que cela reste entre nous : n'allons pas troubler la tranquillité de Porto Massimo.




On vous embrasse



Oh Capitaine, ma capitaine,
Ah, Massimo… rien qu’à lire votre texte, on entend le silence des lieux. Pas étonnant que le contraste soit si fort : passer du bling-bling de Bonifacio à l’apaisement absolu de Porto Massimo, c’est un peu comme quitter une rave techno pour une sieste sur un nuage 😄
On imagine bien Sandra, ambassadrice discrète de ce coin de paradis, vous glisser ce secret à voix basse… et vous pouvez compter sur nous pour ne pas ébruiter l’adresse (juste entre nous, bien sûr...😉).
Merci pour le petit croquis, c’est un bonheur de voir les images posées avec vos mots, vos traits, votre regard.( Je persiste et signe : vos cours de dessin paient, sans aucun doute👍)
Et…