Calvi
- Fanny Melot
- 22 juin
- 1 min de lecture
En voilà une belle escale ! Nous y sommes restés plus longtemps que prévu. La raison officielle, c’est qu’on attendait de se faire livrer une pièce pour notre système d’ancrage (un barbotin, c’est mignon, non?). La raison officieuse, c’est que moi, je n’étais pas ultra motivée pour repartir vu le vent annoncé (j’avais les chocottes, quoi !). Entre trop de vent et pas assez, on apprend à s’adapter sans se laisser aller.








A Speloncato, rencontre émouvante avec un vieux corse sage et joyeux de 82 ans, assis au pied de la fontaine du village, sous l’ombre paisible d’un mûrier noir, presque centenaire.
Calvi est une belle citadelle. Nous sommes en juin, mais il y a déjà pas mal de touristes. Calvi m’a un peu surprise : ça avait une ambiance de camping — joyeux, chaleureux, apéro, serviette autour du cou avec le short et les tongs au retour des sanitaires. Il y avait même des boîtes de nuit au bout du ponton !
On se calme : inutile de nous imaginer sur le dancefloor. La seule boîte de nuit qu’on aime, c’est notre couchette avant !
Et on termine notre séjour à Calvi en allant à la plage. 25 noeuds de vent donc on adapte nos activités.



Et vous embrasse



Oh Capitaine, ma Capitaine,
Ah Calvi… entre le barbotin qu’on attend (rien que le mot vaut le détour 😄⚙️) et le vent qui souffle trop ou pas assez, on sent que vous commencez à bien maîtriser l’art de l’impro façon marin 😅.
Merci pour les photos, encore une fois on voyage depuis le canapé : citadelle, villages perchés, mûrier centenaire… et toujours ce mélange de beauté et de quotidien qui rend vos escales si vivantes 🌄🚴♀️.
Et pas d’inquiétude, on ne vous imagine pas en boîte… sauf si c’est celle qui tangue doucement au rythme des vagues 💙
Et cette virée en moto à travers l’arrière-pays… quelle ambiance !
On sent presque les odeurs de maquis et l’écho du moteur…